MENU
MENU
MENU

Notre vision pour nantes

Notre vision pour nantes

Hier la ville-vitrine, Demain la ville-archipel

Hier la ville-vitrine, Demain la ville-archipel

Hier la ville-vitrine, Demain la ville-archipel

Nantes se vend depuis vingt ans comme un produit. À coups de slogans « bien-vivre », « métropole verte », « ville attractive », elle masque un modèle d’urbanisme qui concentre les richesses, étale la ville et chasse les plus modestes. Derrière la vitrine, le Plan local d’urbanisme métropolitain (PLUm) reste un outil au service de la spéculation. Les habitant·es le sentent : ce modèle ne tient plus. La colère monte, les résistances s’organisent. Il faut bifurquer. Nous proposons une vision lisible, concrète et désirable : faire émerger la ville-archipel.

Imaginons une métropole composée d’un archipel de quartiers à taille humaine, de 20 à 30 000 habitant·es, dotés de commerces de proximité, services publics accessibles, emplois locaux et lieux de décision citoyenne. Ces îlots de vie, reliés par des réseaux publics équitablestransports, nature, numérique, culture — forment un tissu urbain solidaire et respirable. Entre eux, la lagune métropolitaine : forêts, zones humides, corridors verts, ceinture maraîchère deviennent structures écologiques de la ville.

Ce modèle renverse la logique d’un centre dominateur et de périphéries reléguées. Il propose une métropole polycentrique, solidaire et horizontale, fondée sur l’égalité des droits et des liens.

Concrètement, chaque quartier doit pouvoir être agréable à vivre, avec équipements, emplois, logements accessibles. Les Nantaises et les Nantais pourront profiter de toute la richesse de leur ville, au-delà du centre-ville. Nous mènerons un bilan urbain quartier par quartier : logements vacants, équipements manquants, mobilités, usages du foncier. Nous partirons de la réalité de chaque quartier pour bâtir une vision commune. Nous redéploierons les moyens vers les quartiers populaires et périphériques, pour y faire émerger la richesse locale : liens, savoirs, culture, solidarité.

La ville-archipel, c’est une ville habitée et partagée, où l’on mesure la prospérité à la qualité des liens, non au nombre de grues. Une ville qui protège ses espaces naturels, rassemble ses habitants et se construit avec eux. Une ville pour toutes et tous.

Nantes se vend depuis vingt ans comme un produit. À coups de slogans « bien-vivre », « métropole verte », « ville attractive », elle masque un modèle d’urbanisme qui concentre les richesses, étale la ville et chasse les plus modestes. Derrière la vitrine, le Plan local d’urbanisme métropolitain (PLUm) reste un outil au service de la spéculation. Les habitant·es le sentent : ce modèle ne tient plus. La colère monte, les résistances s’organisent. Il faut bifurquer. Nous proposons une vision lisible, concrète et désirable : faire émerger la ville-archipel.

Imaginons une métropole composée d’un archipel de quartiers à taille humaine, de 20 à 30 000 habitant·es, dotés de commerces de proximité, services publics accessibles, emplois locaux et lieux de décision citoyenne. Ces îlots de vie, reliés par des réseaux publics équitablestransports, nature, numérique, culture — forment un tissu urbain solidaire et respirable. Entre eux, la lagune métropolitaine : forêts, zones humides, corridors verts, ceinture maraîchère deviennent structures écologiques de la ville.

Ce modèle renverse la logique d’un centre dominateur et de périphéries reléguées. Il propose une métropole polycentrique, solidaire et horizontale, fondée sur l’égalité des droits et des liens.

Concrètement, chaque quartier doit pouvoir être agréable à vivre, avec équipements, emplois, logements accessibles. Les Nantaises et les Nantais pourront profiter de toute la richesse de leur ville, au-delà du centre-ville. Nous mènerons un bilan urbain quartier par quartier : logements vacants, équipements manquants, mobilités, usages du foncier. Nous partirons de la réalité de chaque quartier pour bâtir une vision commune. Nous redéploierons les moyens vers les quartiers populaires et périphériques, pour y faire émerger la richesse locale : liens, savoirs, culture, solidarité.

La ville-archipel, c’est une ville habitée et partagée, où l’on mesure la prospérité à la qualité des liens, non au nombre de grues. Une ville qui protège ses espaces naturels, rassemble ses habitants et se construit avec eux. Une ville pour toutes et tous.

▪ Les projections INSEE envisagent pour la métropole nantaise une croissance continue de la population (+1 %/an) jusqu’en 2040.

▪ Les grandes opérations trahissent leur promesse sociale : le nouvel hôpital est bâti en zone inondable ; à Carquefou, 32 hectares de terres maraîchères (dont 6,5 hectares de productions maraîchères en activité) sont vouées au béton, sous couvert d'« urbanisme productif », les projets de rénovation à Nantes Nord ou Bellevue s'appuient sur la démolition-reconstruction sans résoudre la précarité. Le projet de centre commercial Paridis propose seulement 280 logements sur une vingtaine d'hectares, soit 14 logements à l'hectare, c'est une densité moindre que celle d'un lotissement pavillonnaire !

▪ Entre 2011 et 2021, 19 300 hectares de sols naturels ont disparu en Pays de la Loire, dont 63 % pour le logement. La loi Climat fixe la division par deux d'ici à 2031 et le zéro net en 2050. Notre région ne peut plus utiliser que 9 000 hectares jusqu'en 2031 - il faut donc faire très attention à chaque projet de construction.

▪ Malgré un discours vert, seuls 68 hectares ont été rendus à la nature à Nantes en dix ans quand 1 000 hectares ont été artificialisés sur la métropole.

▪ 38 000 demandes de logements sociaux, 18 000 logements vacants sur le territoire de la métropole.

Constats

Le modèle de la « ville attractive » initié sous Jean-Marc Ayrault ressemble de plus en plus à une ville-vitrine, où l’image prime sur la vie, où la vie elle-même est utilisée comme un produit standardisé.

▪ Les projections INSEE envisagent pour la métropole nantaise une croissance continue de la population (+1 %/an) jusqu’en 2040

▪ Les grandes opérations trahissent leur promesse sociale : le nouvel hôpital est bâti en zone inondable ; à Carquefou, 32 hectares de terres maraîchères (dont 6,5 hectares de productions maraîchères en activité) sont vouées au béton, sous couvert d'« urbanisme productif », les projets de rénovation à Nantes Nord ou Bellevue s'appuient sur la démolition-reconstruction sans résoudre la précarité. Le projet de centre commercial Paridis propose seulement 280 logements sur une vingtaine d'hectares, soit 14 logements à l'hectare, c'est une densité moindre que celle d'un lotissement pavillonnaire !

▪ Entre 2011 et 2021, 19 300 hectares de sols naturels ont disparu en Pays de la Loire, dont 63 % pour le logement. La loi Climat fixe la division par deux d'ici à 2031 et le zéro net en 2050. Notre région ne peut plus utiliser que 9 000 hectares jusqu'en 2031 - il faut donc faire très attention à chaque projet de construction

▪ Malgré un discours vert, seuls 68 hectares ont été rendus à la nature à Nantes en dix ans quand 1 000 hectares ont été artificialisés sur la métropole

▪ 38 000 demandes de logements sociaux, 18 000 logements vacants sur le territoire de la métropole

Constats

Le modèle de la « ville attractive » initié sous Jean-Marc Ayrault ressemble de plus en plus à une ville-vitrine, où l’image prime sur la vie, où la vie elle-même est utilisée comme un produit standardisé

Nos mesures pour faire mieux a nantes

Nos mesures pour faire mieux a nantes

↪ RELOCALISER LA VIE QUOTIDIENNE DANS DES ILES URBAINES.

Pendant que Nantes s’affiche en « métropole attractive », la réalité vécue est tout autre : bétonisation effrénée, flambée des loyers, congestion, éloignement des services essentiels. Ce modèle chasse les plus modestes vers les lisières de la ville et affaiblit les liens du quotidien.

Nous proposons un basculement clair : faire de Nantes un archipel de quartiers vivants, accessibles et solidaires. Chaque quartier doit redevenir un lieu de vie complet, avec ses propres services, emplois, lieux de culture et de décisions. Loin des injonctions à centraliser, nous pensons la ville comme une constellation de bassins de vie, de quartiers, de faubourgs, de villages, de centralités secondaires qui ont chacun leur identité, leur vie propre, leurs savoir-faire. Plus besoin de prendre 2 bus pour aller au centre-ville pour un médecin, un emploi ou un théâtre. Une ville dans laquelle chacun·e peut dire : tout ce dont j’ai besoin pour vivre est à portée.

FAIRE de la ville-archipel notre boussole d’aménagement : une constellation de bassins de vie de 20 000 à 30 000 habitant·es, dotés de services publics de proximité (santé, culture, emploi, solidarités), reliés entre eux par les transports en commun, les mobilités douces, les trames vertes et la démocratie locale.

LANCER un moratoire sur les futures phases des grandes opérations d’aménagement en cours (Doulon-Gohards, Île de Nantes, Grand Bellevue, Paridis, etc.), pour les réévaluer avec les habitant·es à l’aune de trois critères : utilité sociale, urgence écologique, acceptabilité démocratique.

RÉHABILITER plutôt que démolir. Nous privilégierons la transformation du bâti existant, les rénovations globales et la création de logements dans la ville déjà là, plutôt que l’expansion aveugle sur les terres agricoles.

IMPLANTER dans chaque quartier un socle commun de proximité : centre de santé, maison des solidarités, lieu culturel, guichet emploi, espace de démocratie locale.

OUVRIR un débat citoyen et conditionner l’usage commercial du nom « Nantes » à des engagements sociaux, écologiques et démocratiques. L’image de la ville ne doit plus servir de faire-valoir à des projets privés inaccessibles.

CESSER les campagnes d’attractivité à Paris. Arrêter les budgets de promotion à destination des cadres franciliens. Réorienter ces moyens vers les besoins réels des Nantais·es.

↪ Construire une strategie urbaine par ecosystemes relies par les reseaux.

Les grands projets technos, imposés d’en haut, défigurent les quartiers, génèrent de la défiance et aggravent les inégalités. Nous proposons une autre voie : penser la ville comme un ensemble d’écosystèmes urbains cohérents, vivants, à taille humaine. Chaque quartier, chaque “île de vie”, doit être complet en soi mais connecté aux autres par des réseaux solides et équitables.

Ces réseaux ne sont pas que des tuyaux ou des routes. Ils sont sociaux, culturels, écologiques, démocratiques. Ce sont eux qui permettent d’accéder à l’eau, à l’énergie, aux soins, à la culture, à l’alimentation, à la mobilité, à la participation citoyenne. Quand ils manquent, les fractures territoriales s’installent. Quand ils sont solides et partagés, c’est la vitalité de toute la ville qui se régénère.

DÉVELOPPER un réseau naturel dans la ville : créer des espaces verts connectés entre eux, avec des forêts, des zones naturelles humides, des corridors de verdure et des terres agricoles autour de la ville. Ces espaces formeront la base écologique de notre territoire : la lagune verte.

AUDITER chaque quartier dès 2026 avec l’Agence d’Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN), pour dresser un état des lieux partagé : logement, emploi, foncier, équipements publics, mobilités, biodiversité, énergie.

IDENTIFIER et RENFORCER 5 "îles de vie" prioritaires.

RÉINVENTER des centralités piétonnes à partir de lieux populaires : réappropriation des places par l’urbanisme tactique, soutien aux commerces de proximité, implantation de services publics, lieux culturels et de rencontre, tiers-lieux communaux.

INSTAURER des assemblées populaires de quartier, pour co-construire les projets, piloter l’aménagement local, et décider collectivement des priorités d’investissement.

↪ Atteindre le zEro artificialisation nette et dEsartificialiser.

Le sol, ce n’est pas du vide à remplir, c’est la matrice du vivant. Et pourtant, la métropole nantaise a vu disparaître plus de 1000 hectares de terres naturelles et agricoles en dix ans, sous le béton des zones commerciales, des lotissements et des rocades. Ce modèle est épuisé. Il n’est plus soutenable, ni socialement, ni écologiquement.

Nous changeons d’ère : chaque mètre carré compte. Face à l’urgence climatique et à l’effondrement de la biodiversité, la ville doit se réinventer sans s’étaler. Il est temps de bâtir une métropole sobre en foncier, dense en vie, et généreuse en nature. Cela implique non seulement de stopper l’artificialisation, mais aussi de réparer les sols, de rafraîchir la ville, et de re-naturer partout où c’est possible.

RENFORCER l’Établissement Public Foncier (EPF) de Loire-Atlantique pour en faire un outil de sobriété foncière, piloté avec les élu·es et les habitant·es, chargé d’un inventaire public des friches, parkings, bâtis vacants et espaces sous-utilisés.

GÉNÉRALISER un Atlas de la Biodiversité Communale (ABC) dans toutes les communes de la métropole et y associer un diagnostic des sols pour guider les projets de réhabilitation, renaturation et construction.

IDENTIFIER, PROTÉGER et SANCTUARISER toutes les zones humides de la métropole, en lien avec les associations naturalistes.

DEBITUMER 100 hectares d’ici 2032, en priorité dans les cours d’école, parkings, places minérales et zones d’activités obsolètes, pour rendre les sols vivants, frais et perméables.

RECLASSER en zones agricoles ou naturelles tous les terrains vierges aujourd’hui destinés à l’urbanisation, et interdire toute extension urbaine sur les terres agricoles, les forêts et les zones humides restantes.

REFUSER toute nouvelle zone d’activités ou commerciale destructrice : priorité aux reconversions, à la mixité d’usages, au réemploi et à l’ancrage local.

IMPOSER la réversibilité d’usage et suggérer le recours au bois et aux matériaux bio-sourcés dans les constructions neuves, et abandonner les ouvrages de parking en sous-sols inutiles dans l’hypercentre, pour alléger les coûts et réduire l’empreinte carbone.

ANTICIPER les circuits courts de construction en reliant les projets de logements et d’équipements publics aux ressources locales : friches, terres excavées, forêts, ateliers de réemploi.

↪ RELOCALISER L’ALIMENTATION PAR UNE CEINTURE MARAICHERE.

Une métropole résiliente doit nourrir ses habitant·es localement et durablement. Aujourd’hui, l’indice de résilience alimentaire de Nantes n’est que de 6 %, soit trois fois la moyenne nationale, mais très en deçà des besoins à venir. Il est temps de bâtir une souveraineté alimentaire de proximité, en restructurant le foncier, la logistique et la formation, pour faire de l’agriculture un pilier de l’urbanisme métropolitain. La ceinture maraîchère que nous proposons s’ancre dans les terres nourricières existantes et futures de la métropole.

CRÉER une ceinture maraîchère autour de Nantes sur des terres sanctuarisées, en renforçant la part des espaces naturels, agricoles et forestiers (ENAF) dans la planification urbaine.

INSTALLER 25 fermes urbaines et périurbaines d’ici 2030, en s’appuyant sur les projets existants (Dervallières, Bellevue, Village des 5 Ponts…), en partenariat avec des coopératives agricoles, des jeunes en fin de formation et des régies citoyennes.

DÉVELOPPER une logistique publique des circuits courts, avec plateforme de distribution, légumeries, mutualisation entre écoles, commerces, hôpitaux et quartiers.

MOBILISER l’EPF Loire-Atlantique comme bras foncier de la coopérative agricole publique, pour acquérir, protéger et mettre à disposition les terres agricoles et forestières en zone périurbaine.

RÉSERVER des espaces agricoles, forestiers et artisanaux pour produire localement les matériaux bio-sourcés des futurs logements (terre, chanvre, bois, paille…), et ainsi relier les politiques d’alimentation, de construction et de climat.

CRÉER une coopérative foncière publique pour protéger les terres agricoles et lutter contre l’artificialisation, la spéculation et les projets agro-industriels destructeurs

RENDRE 100 % de la restauration collective publique locale, bio et de saison d’ici 2030, en accompagnant la transition des cantines scolaires et des cuisines centrales.

— Personne, quartier

Témoignage

↪ RENOUER AVEC UNE DEMOCRATIE URBAINE REELLE.

Nantes dispose déjà d’un cadre de participation : budgets participatifs, conseils citoyens dans 11 quartiers, un dialogue citoyen métropolitain, un Conseil de développement informel et une interpellation citoyenne au conseil municipal. Mais ils restent souvent consultatifs, cloisonnés, épisodiques, et ne permettent pas une réelle influence sur l’aménagement. Nous proposons une démocratie urbaine institutionnelle, progressive, et fondée sur la co-décision. Une ville archipel, c’est aussi une ville démocratique.

CRÉER des Assemblées de quartier délibératives dans chaque « île urbaine », dotées d’un pouvoir réel sur les budgets et les projets d’aménagement, avec des moyens humains et une animation indépendante.

ORGANISER en 2027 une Convention métropolitaine pour la ville-archipel, réunissant citoyen·nes tiré·es au sort, élu·es, associations, chercheurs et services, pour poser les bases d’une refondation démocratique du territoire.

INSCRIRE un droit d’amendement citoyen dans le PLUm, les ZAC, les cartes communales : 1 000 signatures d’habitant·es suffisent pour soumettre un amendement avec réponse écrite attendue dans les 3 mois.

RENFORCER le Conseil de développement métropolitain, en le dotant d’un statut de chambre citoyenne officielle, capable de saisir la Convention métropolitaine et les jurys citoyens.

LANCER des appels à projets citoyens pour la transformation urbaine ou la renaturation, avec budget participatif élargi et mise en œuvre en régie ou avec des associations locales.

— Personne, quartier

Témoignage

— Personne, quartier

Témoignage

Zoom sur les projets actuels

Dans un monde où les défis sociaux et environnementaux se multiplient, l'action collective est indispensable.
Faire Mieux, c’est plus qu’un programme : c’est un mouvement citoyen. C’est un cri de ralliement pour toutes celles et ceux qui veulent construire un avenir plus juste, plus solidaire et plus durable.

Nous lançons une campagne municipale ouverte, participative et populaire. Un programme, aussi riche soit-il, ne vaut que s’il continue de s’enraciner dans les réalités du terrain. C’est pourquoi nous vous invitons à contribuer à son enrichissement, à porter vos idées, à faire entendre votre voix.

Faites vivre notre programme avec vos expériences, vos expertises, vos colères, vos rêves.

Chaque engagement, chaque contribution compte.

Faire Mieux, c’est une communauté qui agit, qui débat, qui construit.
Et si vous en faisiez partie ?

© 2025 FAIRE MIEUX - LA FRANCE INSOUMISE - TOUS DROITS RESERVES

© 2025 FAIRE MIEUX - LA FRANCE INSOUMISE - TOUS DROITS RESERVES

© 2025 FAIRE MIEUX - LA FRANCE INSOUMISE - TOUS DROITS RESERVES