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Prevenir et guerir notre acces aux soins, notre sante mentale et notre sante environnementale

Prevenir et guerir notre acces aux soins, notre sante mentale et notre sante environnementale

Prevenir et guerir notre acces aux soins, notre sante mentale et notre sante environnementale

L'accès juste et égal aux soins constitue un droit fondamental. Pourtant, notre Grande Enquête populaire révèle une réalité préoccupante : même à Nantes, ville privilégiée par rapport à d’autres territoires, l'accès aux médecins et aux soins devient de plus en plus difficile, voire impossible. Les quartiers populaires sont les plus touchés, alors que leurs besoins sont plus importants.

Face au démantèlement de la Sécurité sociale et à la destruction de l’Hôpital public organisés par des décennies de gouvernements libéraux, notre priorité est de bâtir une ville où chaque citoyen·ne bénéficie de soins de qualité et de proximité. Les propositions que nous vous présentons visent à gommer ces inégalités, en s'appuyant sur des solutions concrètes et un engagement fort pour la santé de toutes et tous.

L'accès juste et égal aux soins constitue un droit fondamental. Pourtant, notre Grande Enquête populaire révèle une réalité préoccupante : même à Nantes, ville privilégiée par rapport à d’autres territoires, l'accès aux médecins et aux soins devient de plus en plus difficile, voire impossible. Les quartiers populaires sont les plus touchés, alors que leurs besoins sont plus importants.

Face au démantèlement de la Sécurité sociale et à la destruction de l’Hôpital public organisés par des décennies de gouvernements libéraux, notre priorité est de bâtir une ville où chaque citoyen·ne bénéficie de soins de qualité et de proximité. Les propositions que nous vous présentons visent à gommer ces inégalités, en s'appuyant sur des solutions concrètes et un engagement fort pour la santé de toutes et tous.

▪ Les quartiers Haluchère/Sainte-Luce, Bottière/Pin Sec, Jules Verne/Landreau, Schumann/Perverie et Pont du Cens/Petit Port Jonelière, sont considérés comme une zone de “sous-densité médicale” (<70 médecins/100.000 habitants).

▪ A Nantes, 23 % des médecins sont âgés de 60 ans et plus, ce qui laisse entrevoir une vague importante de départs à la retraite dans les prochaines années, non entièrement compensée par l'arrivée de jeunes diplômé·es. C’est le cas particulièrement dans les quartiers déjà sous-densifiés.

▪ Dans les quartiers populaires de Nantes, le taux de mortalité prématurée (avant 65 ans) est 1,5 fois plus élevé que dans les autres quartiers de la métropole.

▪ La pédopsychiatrie dans le département de Loire-Atlantique compte 14 lits d’hospitalisations, il en faudrait 54 pour atteindre la moyenne nationale déjà sous-dimensionnée.

▪ 22% des adultes de Nantes Métropole sont en situation d'obésité, et 38% sont en surpoids ou obèses, chiffres supérieurs à la moyenne nationale.

▪ Les quartiers Haluchère/Sainte-Luce, Bottière/Pin Sec, Jules Verne/Landreau, Schumann/Perverie et Pont du Cens/Petit Port Jonelière, sont considérés comme une zone de “sous-densité médicale” (<70 médecins/100.000 habitants).

▪ A Nantes, 23 % des médecins sont âgés de 60 ans et plus, ce qui laisse entrevoir une vague importante de départs à la retraite dans les prochaines années, non entièrement compensée par l'arrivée de jeunes diplômé·es. C’est le cas particulièrement dans les quartiers déjà sous-densifiés.

▪ Dans les quartiers populaires de Nantes, le taux de mortalité prématurée (avant 65 ans) est 1,5 fois plus élevé que dans les autres quartiers de la métropole.

▪ La pédopsychiatrie dans le département de Loire-Atlantique compte 14 lits d’hospitalisations, il en faudrait 54 pour atteindre la moyenne nationale déjà sous-dimensionnée.

▪ 22% des adultes de Nantes Métropole sont en situation d'obésité, et 38% sont en surpoids ou obèses, chiffres supérieurs à la moyenne nationale.

Constats

Malgré la richesse de son offre hospitalière, Nantes fait face à de fortes inégalités d’accès aux soins, particulièrement dans plusieurs quartiers populaires classés en sous-densité médicale.

Le vieillissement des médecins, les inégalités territoriales de santé et le sous-dimensionnement de certaines spécialités comme la pédopsychiatrie accentuent les difficultés.

À cela s’ajoutent des indicateurs préoccupants de santé publique, notamment sur la mortalité prématurée ou le surpoids, qui révèlent une urgence à repenser l’offre de soins de proximité, la prévention et la justice sanitaire.

Nos mesures pour faire mieux a nantes

↪ CrEer des centres de santE polyvalents dans chaque quartier de Nantes.

Les gouvernements successifs n'ont cessé de réduire le financement de notre Sécurité Sociale. Des déserts médicaux apparaissent même dans nos quartiers Nantais. Le nouveau CHU est sous-dimensionné avant même que sa construction soit terminée. Face à cet abandon, nous affirmons la volonté de la Ville de pallier à ces lacunes en proposant la création d’un “Grand Service Public de la Santé de Nantes” pour qu’à l’échelle de la ville, chacun puisse bénéficier d’une offre de soin en fonction de ses besoins. Cette structure rassemblera l’ensemble des initiatives municipales sur les sujets de santé, et devra être identifiée par la population comme une porte d’entrée vers la prise en main de sa santé.

DOTER chaque quartier d'un centre de santé d'ici à la fin du mandat, qui devront être polyvalents avec la présence de généralistes, de spécialistes, de soins infirmiers notamment.

METTRE en place dans les centres de santé des consultations sans rendez-vous pour les urgences non vitales (soins non programmés).

ASSURER un volet social avec la présence d'assistantes sociales, de traducteurs et de permanences d'aide à l'accès aux droits.

ÉLARGIR l’amplitude horaire pour faciliter l'accès aux soins (ouverture en soirée et le samedi).

AFFECTER une partie des ressources des centres de santé à la santé sexuelle, à la prévention et au grand âge.

INTEGRER la santé communautaire avec des projets de santé définis avec les habitant.e.s.

ASSOCIER les habitantes et habitants à la conception des politiques locales de santé.

↪ Agir pour la santE mentale des jeunes.

Face à l'urgence de l'augmentation des problèmes de santé mentale dans nos jeunesse, nous proposons la création d’une cellule de coordination municipale en santé mentale infantile et adolescente à travers un projet d’articulation entre la ville et notre hôpital.

CENTRALISER les initiatives locales et faire le lien entre la municipalité, les structures d’accueil et les services spécialisés (CMP/CMPP, hôpitaux, ARS…).

METTRE en place de référents santé mentale dans chaque lieu d’accueil jeunesse pour sensibiliser les équipes aux signes de souffrance psychique, organiser des temps d’échange avec les jeunes et être le lien opérationnel avec les CMP, CMPP, médecins scolaires.

DÉPLOYER les actions de prévention et de repérage précoce à travers des ateliers de prévention en santé mentale (émotions, stress, harcèlement, conduites à risque) dans les structures jeunesse.

DÉVELOPPER les formations de Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM) auprès des agents municipaux fréquemment au contact de la population.

PROPOSER des consultations avancées de pédopsychiatrie dans certains lieux jeunesse, animées par un professionnel d’un CMP ou d’un hôpital partenaire.

ORIENTER et accompagner vers les soins en créant d’un circuit d’orientation rapide vers les CMP pour les jeunes repérés en souffrance (création de créneaux prioritaires) accompagner des familles par les professionnels des structures jeunesse formés à la médiation et à l’orientation.

ACCOMPAGNER les familles par les professionnels des structures jeunesse formés à la médiation et à l’orientation.

AUGMENTER les capacités d’accueil de la maison des adolescents.

ASSURER une permanence régulière de professionnels en santé mentale dans les Maisons de Quartier.

↪ Passer du rEpressif A une politique de santE publique sur les addictions.

Offrir un espace sécurisé et encadré permettant aux usager·es de drogues de consommer dans de bonnes conditions hygiéniques, sous supervision médico-sociale, afin de réduire les overdoses et infections (VIH, hépatites…). Éviter les consommations dans l’espace public pour permettre de mieux orienter vers le soin et l’insertion et de soulager les riverains des nuisances associées.

CRÉER une Halte soins Addiction (salle de consommation à moindre risque) et une antenne mobile de consommation à moindre risque, pour limiter les pratiques à haut risque et renforcer le suivi sanitaire et social.

MENER une politique municipale de "tolérance active" à travers une formation des agent·es de police municipale à la réduction des risques et à l’accueil sans jugement, une priorité donnée à l’aide et à l’accompagnement plutôt qu’aux sanctions et la collaboration active entre policiers, services de santé et travailleurs sociaux.

OFFRIR un soutien renforcé aux associations locales avec un fonds de soutien annuel dédié à l’action associative sur la santé mentale, les addictions et la précarité.

METTRE à disposition des locaux municipaux gratuitement pour les permanences des associations.

CRÉER un conseil consultatif composé d’associations, de soignant·es, d'usager·es et de proches.

PROPOSER des actions culturelles et artistiques de prévention composées de résidences d’artistes dans les quartiers autour de la thématique, projections de documentaires, expositions, concerts, création participative de campagnes de sensibilisation par et pour les citoyen·nes …

↪ CrEer de nouvelles politiques de prEventions.

Face aux inégalités de santé et à la méconnaissance des droits et dispositifs, la prévention doit devenir un pilier central des politiques de santé publique à Nantes. Il est temps de passer d’une approche centrée sur le curatif à une véritable stratégie de santé communautaire, en s’appuyant sur l’information, l’éducation, la médiation et l’action de terrain. Cela implique de renforcer les moyens humains, de mieux diffuser les données de santé, et d’aller vers les publics les plus éloignés du soin.

ATTEINDRE les objectifs du programme “Ville sans Sida” en lançant des campagnes de sensibilisation et de dépistage renforcées auprès des jeunes et des populations vulnérables et en développant de l'accès aux traitements préventifs (PrEP).

PUBLIER des données de santé publique de la ville (indicateurs épidémiologiques, offre de soins, etc.) en open data et soutenir les initiatives citoyennes d'utilisation des données de santé.

RECRUTER des médiateurs en santé supplémentaires, pour créer un vrai maillage et une vraie présence sur des plages horaires élargies, avec une attention particulière aux Quartiers Prioritaires de la Ville (QPV).

Dans un monde où les défis sociaux et environnementaux se multiplient, l'action collective est indispensable.
Faire Mieux, c’est plus qu’un programme : c’est un mouvement citoyen. C’est un cri de ralliement pour toutes celles et ceux qui veulent construire un avenir plus juste, plus solidaire et plus durable.

Nous lançons une campagne municipale ouverte, participative et populaire. Un programme, aussi riche soit-il, ne vaut que s’il continue de s’enraciner dans les réalités du terrain. C’est pourquoi nous vous invitons à contribuer à son enrichissement, à porter vos idées, à faire entendre votre voix.

Faites vivre notre programme avec vos expériences, vos expertises, vos colères, vos rêves.

Chaque engagement, chaque contribution compte.

Faire Mieux, c’est une communauté qui agit, qui débat, qui construit.
Et si vous en faisiez partie ?

© 2025 FAIRE MIEUX - LA FRANCE INSOUMISE - TOUS DROITS RESERVES

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