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Faire Mieux Pour...

la surete

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Assurer le droit a la surete pour toutes et tous : une priorite pour Nantes

Assurer le droit a la surete pour toutes et tous : une priorite pour Nantes

Assurer le droit a la surete pour toutes et tous : une priorite pour Nantes

Le droit à la sûreté, inscrit à l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen comme « naturel » et « imprescriptible », est un principe fondamental pour toutes et tous, quelque soit son quartier, son origine, son genre ou son âge. Trop souvent, ce droit est dévoyé pour justifier des politiques autoritaires, inefficaces, racistes et liberticides. À l’inverse, nous faisons le choix d’une approche globale, fondée sur la justice sociale, la prévention, la présence humaine et le respect des libertés. Nous portons une vision de la sûreté au service de la liberté, de la dignité et de l’égalité réelle.

La sécurité n’est pas une promesse électorale : c’est un droit que nous construisons ensemble, par l’entraide, la justice sociale et la présence humaine.

▪ En 2024, 24 126 crimes et délits pour une population de 325 070 habitants. Nantes affiche ainsi un taux de criminalité de 74,2 pour mille habitant·s, ce qui la place au rang 2 196 du classement des villes les plus dangereuses de France.

La métropole se situe parmi les métropoles qui ont enregistré le plus faible nombre de délits de consommation de drogue (3 pour 1000 contre 5,9 en moyenne). Elle présente également un taux très bas de trafic de stupéfiant (0,9 pour 1000 contre 1,5 en moyenne).

43% des Nantais·es estiment que les comportements discriminatoires ont progressé dans la commune et dans 6 cas sur 10, les discriminations observées sont associées à l’origine ou à la couleur de peau.

30 % des Nantais·es ont eu le sentiment d’être discriminé·es au cours des cinq dernières années (contre 27 % en 2020).

Une femme sur trois déclare avoir subi des insultes ou des propos sexistes dans l’espace public au cours des cinq dernières années.

Une discrimination sur deux se produit dans le cadre du travail ou lors de la recherche d’emploi.

77% des victimes de discrimination n’ont effectué aucune démarche : signalement, dépôt de plainte, etc. Un taux de recours de 83% qui est encore plus faible chez les personnes victimes de discriminations racistes.

Constats

Malgré les discours sécuritaires et les moyens déployés, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nantes reste marquée par des crimes et délits bien présents, mais aussi par des formes de violences et de discriminations souvent invisibilisées : sexisme, racisme, inégalités dans l’accès aux droits.

Ces constats rappellent l’urgence d’agir autrement, avec une approche globale de la sûreté, centrée sur la justice sociale, la prévention et l’égalité réelle.

Constats

Malgré les discours sécuritaires et les moyens déployés, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nantes reste marquée par des crimes et délits bien présents, mais aussi par des formes de violences et de discriminations souvent invisibilisées : sexisme, racisme, inégalités dans l’accès aux droits.

Ces constats rappellent l’urgence d’agir autrement, avec une approche globale de la sûreté, centrée sur la justice sociale, la prévention et l’égalité réelle.

Nos mesures pour faire mieux a nantes

Nos mesures pour faire mieux a nantes

↪ Creer une police de proximite, de la mediation et de la tranquillite publique.

Assurer la sûreté passe d'abord par une présence humaine et républicaine dans l'espace public. Plutôt que la répression ou la surveillance généralisée par caméras, nous choisissons la médiation, la prévention et un service public de sécurité au service de toutes et tous.

Nous affirmons une rupture claire avec le tout-technologique et la vidéosurveillance massive, coûteuse, liberticide et inefficace. La vraie sûreté, c’est celle qui repose sur la confiance, la présence humaine et la justice sociale.

REDÉFINIR la mission de la police municipale de proximité autour d’équipes présentes dans tous les quartiers en lien étroit avec les commerçant·es, les écoles, les associations et les habitant·es.

FORMER la police municipale de proximité à la médiation, aux conduites addictives, aux violences sexistes et sexuelles, à toutes les formes de discrimination, à la santé mentale, à la prévention et à la tranquillité publique.

REFUSER l’armement létal de la police municipale.

EXIGER l’augmentation des effectifs de la police judiciaire afin de cesser de dévoyer les missions de police de proximité de la police municipale.

RENFORCER le lien de confiance avec la population en évaluant régulièrement les politiques de sûreté de la mairie, notamment par des enquêtes en porte-à-porte menées auprès des habitant·es.

DOUBLER les effectifs de médiateur·ices dès la 1ère année de mandat (de 36 à 72) au lieu de la vidéosurveillance généralisée.

INSTAURER un moratoire sur la vidéosurveillance et réaliser un audit financier et une évaluation indépendante sur son efficacité réelle.

LUTTER contre les rodéos urbains par des actions de médiation, de contrôle, d’aménagement urbain et réaliser des consultations citoyennes au sujet de la création d’un espace dédié à la pratique des sports motorisés sans nuisance.

PROMOUVOIR la carrière d’agent·e de police municipale auprès des médiateur·ices de quartier.

↪ Lutte contre les trafics et politique de rEduction des risques.

La prohibition nourrit des marchés clandestins extrêmement lucratifs, alimente les violences, désorganise les quartiers populaires et enferme une partie de la jeunesse dans l’économie souterraine. Face à l’échec de la politique de prohibition, nous proposons une approche cohérente : démanteler les réseaux criminels, prévenir les conduites à risque et accompagner les personnes. La commune devient un acteur de santé publique et de tranquillité.

Nous assumons une rupture claire avec la politique du tout répressif des gouvernements successifs de Nicolas Sarkozy à Bruno Retailleau, en passant par Manuel Valls et Bernard Cazeneuve. Notre objectif : cibler les têtes de réseau, pas les petits exécutants ; accompagner les usager·es, plutôt que les stigmatiser ; prévenir, réduire les risques, et créer des alternatives concrètes.

DÉVELOPPER les campagnes de prévention aux addictions (alcool, tabac, drogues, jeux) en coopération avec les associations et professionnel·es de santé.

RENFORCER les politiques de santé mentale et de lutte contre les addictions, en lien avec les services publics et les associations.

CRÉER une Halte Soins Addictions (HSA) ainsi qu’une antenne mobile de consommation à moindre risque, pour limiter les pratiques à haut risque et renforcer le suivi sanitaire et social.

ÉLABORER un plan municipal de prévention des conduites addictives et de soin aux personnes dépendantes (accompagnement psychologique, hébergement, traitement de substitution, accès aux soins primaires, …).

PROPOSER des formations dans les collèges et lycées via des intervenant·es municipaux·ales et associatif·ves pour alerter sur les effets des drogues, sur les techniques de recrutement des dealers, sur les mécanismes de contrainte et d’emprise.

ORGANISER des formations régulières ouvertes aux familles, dans les différents quartiers, afin d’apprendre à repérer les signaux d’alerte liés à l’entrée dans la consommation ou dans les trafics.

↪ Lutte contre les discriminations et les violences systEmiques.

La sûreté doit être la même pour toutes et tous. Cela suppose d’en finir avec les violences policières, les contrôles au faciès, les violences sexistes, racistes et LGBTIphobes.

Nous défendons une approche égalitaire, inclusive et protectrice pour faire de Nantes un havre de protection, d'émancipation et d'égalité réelle.

DEMANDER l’expérimentation du récépissé de contrôle d’identité pour lutter contre les contrôles au faciès.

INSTAURER dans chaque quartier un lieu d’accueil et un·e référent·te formé·e à l’accès aux droits pour le signalement et l'accompagnement des victimes de violences policières et de discriminations : sexisme, racisme, LGBTIphobies, validisme, avec une permanence juridique gratuite.

AMÉLIORER l’action de l’observatoire contre les discriminations, en le co-gérant avec les associations et les habitant·es et en le dotant d’un budget participatif, afin de mettre en œuvre des actions de tests de discriminations et de communication vers le grand public.

FORMER les agent·es de la collectivité à la lutte contre tous les stéréotypes et contre toutes les discriminations (racisme, sexisme, LGBTIphobie, validisme, transphobie…) dans les administrations pour permettre une bonne orientation des personnes victimes.

S’OPPOSER au projet de centre de rétention administrative (CRA) à Nantes, reflet d’une politique migratoire brutale et raciste.

CRÉER en lien avec l’État et la justice, un Centre d’accompagnement et de prévention (CAP) pour les conjoints violents présumés afin de les éloigner du domicile conjugal et de les prendre en charge en parallèle de leur parcours judiciaire.

DÉVELOPPER les partenariats avec les associations spécialisées (sécurité routière, discriminations, addictions, etc.).

METTRE en œuvre des plans de lutte contre le harcèlement sexuel au travail pour les agent·es de la municipalité.

FAVORISER la création d’espaces inclusifs au sein des centres d’hébergement gérés ou créés par les CCAS et CIAS.

↪ Accompagner les victimes.

Garantir le droit à la sûreté, c’est aussi protéger et soutenir celles et ceux qui subissent des violences ou des discriminations. Trop souvent isolées ou ignorées, les victimes doivent pouvoir trouver des relais fiables, une écoute bienveillante et un accompagnement concret.

Cela passe par des lieux d’accueil accessibles, des élu·es et des agent·es qui s’engagent aux côtés des victimes, et des services publics à la hauteur des besoins réels.

CONSTITUTION du ou de la maire et/ou du ou de la président·e de Nantes Métropole en partie civile lors de tout dépôt de plainte d’une victime de violences policières ou de discriminations.

ÉTUDIER, sur le modèle du dispositif Citad’elle, les possibilités de création d’un dispositif équivalent pour les personnes victimes de discriminations LGBTI+.

POURSUIVRE le développement des capacités d’accueil d’urgence de Citad’elles pour les femmes victimes de violence, avec ou sans enfant.

↪ Lutter contre le sentiment d’insEcuritE en apaisant l’environnement urbain.

Le cadre de vie influe fortement sur le sentiment de sécurité. Un espace public bien entretenu, éclairé, inclusif et pensé pour toutes et tous est un facteur d’apaisement et de confiance.

Pour répondre aux attentes exprimées par les habitant·es, nous voulons agir sur les causes concrètes du malaise urbain : dégradations non traitées, aménagements inadaptés, manque de prise en compte de la parole des femmes et des personnes LGBTI.

RÉPARER systématiquement toute dégradation publique grâce au numéro vert d’appel des services techniques, avec du personnel dédié en nombre suffisant.

ORGANISER des marches exploratoires sous le prisme des discriminations pour pouvoir mettre en place les aménagements urbains nécessaires (éclairage, mobilier urbain…).

PLANIFIER et échelonner les travaux avec les habitant·es pour éviter que la ville soit en « grand chantier permanent ».

SÉCURISER et PACIFIER la nuit en installant des médiatrices et médiateurs et des agent·es de police municipale en nombre suffisant autour des lieux de sorties nocturnes.

FORMER davantage les conducteur·ices de nuit à l'arrêt à la demande, mieux informer les usagers sur cette mesure avec des campagnes d'information présentes toute l'année.

DOUBLER le nombre de médiatrices et médiateurs dans les transports.

Dans un monde où les défis sociaux et environnementaux se multiplient, l'action collective est indispensable.
Faire Mieux, c’est plus qu’un programme : c’est un mouvement citoyen. C’est un cri de ralliement pour toutes celles et ceux qui veulent construire un avenir plus juste, plus solidaire et plus durable.

Nous lançons une campagne municipale ouverte, participative et populaire. Un programme, aussi riche soit-il, ne vaut que s’il continue de s’enraciner dans les réalités du terrain. C’est pourquoi nous vous invitons à contribuer à son enrichissement, à porter vos idées, à faire entendre votre voix.

Faites vivre notre programme avec vos expériences, vos expertises, vos colères, vos rêves.

Chaque engagement, chaque contribution compte.

Faire Mieux, c’est une communauté qui agit, qui débat, qui construit.
Et si vous en faisiez partie ?

© 2025 FAIRE MIEUX - LA FRANCE INSOUMISE - TOUS DROITS RESERVES

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