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Faire Mieux Pour...

l’Education, l’Enfance et l’Education Populaire

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Apprendre, grandir, s’émanciper

Apprendre, grandir, s’émanciper

Apprendre, grandir, s’émanciper

L’école doit être le premier rempart contre les inégalités. Elle peut soit reproduire les injustices sociales, soit les combattre. Chaque enfant, où qu’il vive à Nantes, doit pouvoir apprendre, s’épanouir, rêver et construire son avenir. Trop souvent, l’école reflète les injustices de la société : manque de moyens, précarité, accès inégal à la culture. Nous voulons l’inverse : une école qui corrige ces inégalités, qui donne à toutes et tous les mêmes chances. Contre l’école à deux vitesses, contre la privatisation rampante de l’éducation et l’abandon des quartiers populaires, nous voulons une école publique, gratuite, ouverte sur son quartier, joyeuse, où l’on apprend aussi à coopérer, à penser par soi-même, à devenir citoyen·ne. Une école qui accueille aussi les familles, les associations, les élu·es, pour faire grandir ensemble une ville plus juste. Parce que l’émancipation ne commence pas à l’âge adulte, mais dès la petite enfance, nous ferons de l’école un lieu de dignité, de solidarité et de culture pour toutes et tous. Parce que l’école est bien plus qu’un lieu d’instruction, parce qu’elle est le creuset où se forment les citoyen·nes de demain, alors l’avenir se construit dès maintenant, dans chaque classe, dans chaque cour d’école, dans chaque rencontre entre enfants, familles, éducateurs et habitant·es.

Nous soutiendrons les élèves en difficulté, favoriserons les partenariats entre écoles, entreprises et associations locales, et réaffirmerons l’importance d’une éducation respectueuse des valeurs sociales et environnementales. Nous ferons de l’école primaire le cœur de la vie de quartier en les ouvrant en soirée, de 18h30 à 20 h, avec des agent·es de la ville recruté·es. Enfin, nous aménagerons les abords des écoles en les piétonnisant et en créant des espaces publics conviviaux avec bancs, espaces verts et jeux pour enfants.

L’école doit être le premier rempart contre les inégalités. Elle peut soit reproduire les injustices sociales, soit les combattre. Chaque enfant, où qu’il vive à Nantes, doit pouvoir apprendre, s’épanouir, rêver et construire son avenir. Trop souvent, l’école reflète les injustices de la société : manque de moyens, précarité, accès inégal à la culture. Nous voulons l’inverse : une école qui corrige ces inégalités, qui donne à toutes et tous les mêmes chances. Contre l’école à deux vitesses, contre la privatisation rampante de l’éducation et l’abandon des quartiers populaires, nous voulons une école publique, gratuite, ouverte sur son quartier, joyeuse, où l’on apprend aussi à coopérer, à penser par soi-même, à devenir citoyen·ne. Une école qui accueille aussi les familles, les associations, les élu·es, pour faire grandir ensemble une ville plus juste. Parce que l’émancipation ne commence pas à l’âge adulte, mais dès la petite enfance, nous ferons de l’école un lieu de dignité, de solidarité et de culture pour toutes et tous. Parce que l’école est bien plus qu’un lieu d’instruction, parce qu’elle est le creuset où se forment les citoyen·nes de demain, alors l’avenir se construit dès maintenant, dans chaque classe, dans chaque cour d’école, dans chaque rencontre entre enfants, familles, éducateurs et habitant·es.

Nous soutiendrons les élèves en difficulté, favoriserons les partenariats entre écoles, entreprises et associations locales, et réaffirmerons l’importance d’une éducation respectueuse des valeurs sociales et environnementales. Nous ferons de l’école primaire le cœur de la vie de quartier en les ouvrant en soirée, de 18h30 à 20 h, avec des agent·es de la ville recruté·es. Enfin, nous aménagerons les abords des écoles en les piétonnisant et en créant des espaces publics conviviaux avec bancs, espaces verts et jeux pour enfants.

▪ L’école publique est fragilisée : bâtiments vieillissants, manque d’animateur·ices et personnels précaires.

▪ Le périscolaire manque d’ambition éducative et souffre de pénuries de personnel.

▪ De nombreuses familles précaires ou immigrées peinent à accéder aux services éducatifs.

▪ 11 500 enfants de moins de 3 ans à Nantes dont la moitié nécessitent une solution de garde.

▪ 3 200 places d’accueil au sein de 21 multi-accueils municipaux, un accueil familial municipal, 42 multi-accueils non municipaux financés par la Ville, parmi lesquels 35 multi-accueils associatifs, et 18 microcrèches non financées par la ville.

▪ Il manque 3 000 places de crèche à Nantes, seul un tiers des demandes d’accueil des enfants sont acceptées.

▪ Les abords des écoles sont saturés de voitures et peu conviviaux.

▪ Les espaces scolaires sont sous-utilisés en dehors du temps scolaire, alors qu’ils pourraient devenir des centres de vie de quartier.

▪ En 1950, les enfants jouissaient d'une autonomie de près de 4 kilomètres autour de leur domicile. Dans les années 1990, cette distance avait été réduite à 400 mètres, et elle est aujourd'hui presque nulle.

▪ L’école publique est fragilisée : bâtiments vieillissants, manque d’animateur·ices et personnels précaires.

▪ Le périscolaire manque d’ambition éducative et souffre de pénuries de personnel.

▪ De nombreuses familles précaires ou immigrées peinent à accéder aux services éducatifs.

▪ 11 500 enfants de moins de 3 ans à Nantes dont la moitié nécessitent une solution de garde.

▪ 3 200 places d’accueil au sein de 21 multi-accueils municipaux, un accueil familial municipal, 42 multi-accueils non municipaux financés par la Ville, parmi lesquels 35 multi-accueils associatifs, et 18 microcrèches non financées par la ville.

▪ Il manque 3 000 places de crèche à Nantes, seul un tiers des demandes d’accueil des enfants sont acceptées.

▪ Les abords des écoles sont saturés de voitures et peu conviviaux.

▪ Les espaces scolaires sont sous-utilisés en dehors du temps scolaire, alors qu’ils pourraient devenir des centres de vie de quartier.

▪ En 1950, les enfants jouissaient d'une autonomie de près de 4 kilomètres autour de leur domicile. Dans les années 1990, cette distance avait été réduite à 400 mètres, et elle est aujourd'hui presque nulle.

Constats

L’école, pilier de l’égalité et de l’émancipation, est aujourd’hui fragilisée à Nantes. Bâtiments vieillissants, manque de personnel, inégalités d’accès aux services éducatifs : les familles, en particulier les plus précaires ou immigrées, peinent à trouver des solutions adaptées. Le manque criant de places en crèche pèse sur les jeunes parents, tandis que les temps et lieux éducatifs manquent d’ambition, d’accessibilité et de convivialité.

Pourtant, une ville qui place les enfants au cœur de ses priorités est une ville qui prépare l’avenir.

Nos mesures pour faire mieux a nantes

↪ Temps d'accueil pEriscolaire (TAP).

Le temps scolaire et périscolaire est souvent vécu comme une contrainte par les familles et une précarité par les animateur·ices. Nous voulons au contraire qu’il devienne un espace de découverte, d’écoute et de respiration. En repensant les rythmes de la journée, en assurant de vraies conditions de travail aux professionnel·les, nous offrirons aux enfants un cadre apaisé et épanouissant.

Mais au-delà de la garde, nous voulons faire du périscolaire un temps d’égalité : en y proposant des activités sportives, artistiques et culturelles de qualité, gratuites et accessibles partout, nous combattrons les inégalités d’accès aux loisirs et à la culture qui frappent les enfants des quartiers populaires.

GARANTIR un nombre suffisant d’animateur·trices périscolaire formé·es en emploi non précaire et en visant le temps plein (quitte à compléter avec d’autres activités).

UNIFIER la gestion du périscolaire avec un employeur unique, mettre fin au morcellement des temps périscolaires (matin, midi, soir, mercredis, vacances) en instaurant un seul employeur.

GARANTIR une continuité éducative cohérente pour les enfants, par une convention tripartite (Ville, ACCOORD, Léo Lagrange) ou, à terme, une reprise en régie publique.

RÉFORMER le système d'inscription pour le rendre plus accessible.

IMPLIQUER davantage les associations locales dans les Temps d'Accueil Périscolaires (TAP) via des subventions et appels à projets.

RÉSERVER des places d'urgence pour les situations imprévues.

REVOIR la qualité des activités afin qu’elles soient réellement vectrices de réduction des inégalités sociales.

↪ Petite enfance et crEches.

L’égalité ne commence pas à l’école, mais dès la naissance. Les premières années sont décisives. Or aujourd’hui, des centaines de familles nantaises restent sans solution de garde. Ce manque d’accueil n’est pas seulement un enjeu social : c’est aussi un combat féministe car ce sont majoritairement les mères qui aménagent leurs horaires de travail, acceptent des temps partiels ou mettent leur carrière entre parenthèses quand aucune solution adaptée n’existe. Et ce sont elles, souvent, qui élèvent seules leurs enfants.

Nous voulons garantir à chaque enfant un accueil digne, encadré par des professionnel·les formé·es et reconnu·es. Crèches publiques, assistantes maternelles soutenues, horaires souples : nous organiserons une vraie politique publique de la petite enfance, pensée pour l’égalité dès le berceau, entre enfants comme entre parents.

METTRE en place un grand plan “zéro enfant sans solution”, pour la création de nouvelles crèches municipales.

ORGANISER le réseau d’assistantes maternelles informelles existant aujourd’hui en leur offrant les formations nécessaires pour se professionnaliser.

FINANCER le loyer des Maisons d’assistantes maternelles (MAM) en échange d’horaires atypiques.

↪ L’Ecole, cOEur de vie du quartier.

Nous voulons faire de l’école un lieu vivant, partagé, ancré dans son quartier. L’école ne doit pas être fermée sur elle-même, fermée à double tour en fin d’après-midi. Nous voulons lui redonner une place centrale au cœur des quartiers : pas seulement celle d’un lieu d’apprentissage, mais celle d’une maison commune. Elle peut devenir un lieu de vie, d’échanges, d’entraide.

En ouvrant les écoles en soirée, en y accueillant des associations, des médiateur·ices, des élu·es, nous en faisons des maisons du peuple : un lieu de démocratie, de culture, de solidarité, où chacun·e a sa place, même après la sonnerie de fin de journée.

Là où l’on apprend le jour, on peut débattre, créer, s’entraider le soir. C’est une école populaire que nous voulons enracinée, accessible, partagée, ouverte à toutes les générations.

ORGANISER une véritable concertation citoyenne sur les rythmes scolaires (4,5 jours ou 4 jours) suivie d’un référendum local en 2027.

OUVRIR davantage les écoles en dehors des heures de classe pour en faire des « cœur de vie de quartier ». Ces espaces proposeront un guichet d'information municipal pour les services publics, les transports, la santé et les droits.

ACCUEILLIR dans les écoles des rencontres régulières avec les élu·es et médiateur·ices de quartier, et les utiliser comme lieu de réunion pour les associations et groupes locaux.

INTÉGRER des médiateur·ices de quartier visibles et accessibles à la vie de ces « cœur de vie de quartier ».

PROPOSER des cours de français pour les élèves et les familles primo-arrivantes.

RÉDIGER dans chaque école un livret d’accueil multilingue.

OUVRIR les cours d’école en dehors du temps scolaire (mercredi, week-ends).

SE MOBILISER contre les fermetures d’écoles et de classes à Nantes.

AIDER et ACCOMPAGNER les écoles dans l’organisation de séjours scolaires avec nuitées.

FACILITER l’usage des locaux scolaires en dehors du temps scolaire pour des événements de quartier (vide-greniers, trocs, débats…).

ETABLIR une dotation pour les fournitures scolaires selon les besoins spécifiques de chaque quartier.

ORGANISER une bourse aux fournitures scolaires d'occasion avant la rentrée, en collaboration avec les ressourceries locales.

↪ Ecologie et santE A l’Ecole.

Bien manger, respirer un air sain, jouer dehors, se sentir en sécurité ; cela devrait aller de soi. Et pourtant, ces droits élémentaires sont loin d’être garantis pour tous les enfants.

Nous agirons concrètement pour des cantines bio, locales et gratuites, des abords d’école apaisés, et des programmes de santé adaptés.

L’école doit montrer la voie d’un autre rapport au vivant.

TENDRE vers le 100 % Alimentation locale et biologique dans les cantines.

OFFRIR systématiquement des repas végétariens, avec possibilité de choisir une option carnée 2 jours par semaine.

INSTAURER la gratuité de la cantine en commençant par renforcer la progressivité des tarifs pour les petits revenus et la gratuité immédiate pour les familles en dessous du seuil de pauvreté.

RÉNOVER les écoles publiques pour garantir à tous les élèves de bonnes conditions d’étude (locaux isolés, accessibles, désamiantage, salles dédiées au périscolaire et d’évolution…).

FORMER les personnels de crèche, du périscolaire et intervenant·es sur le temps scolaire à la prévention des violences éducatives.

↪ Redessiner la ville A hauteur d’enfant.

Les enfants ne votent pas, ne conduisent pas, n’ont pas de carte bleue. Pourtant, ce sont les premier·es à subir une ville pensée sans eux : rues dangereuses, places hostiles, béton brûlant l’été, injonction à rester calmes ou enfermé·es.

Et si nous inversions la perspective ? Faire de Nantes une ville accueillante pour les enfants, c’est la rendre plus sûre, plus douce, plus respirable pour tout le monde. À hauteur d’enfant, on voit mieux les injustices — et on peut mieux les réparer. En 1950, les enfants jouissaient d'une autonomie de près de 4 kilomètres autour de leur domicile. Dans les années 1990, cette distance avait été réduite à 400 mètres, et elle est aujourd'hui presque nulle.

Ce rétrécissement de leur monde se fait sans grand bruit, mais avec des conséquences profondes sur leur développement et leur bien-être.

CRÉER une “trame enfance” à l’échelle de la métropole : rues aux enfants, écoles oasis, îlots de jeu dans chaque quartier, en priorité là où les inégalités sociales et environnementales sont les plus fortes.

DÉVELOPPER des rues permanentes aux enfants, dans tous les quartiers, comprenant des rues fermées à la circulation, aménagées pour le jeu, la marche, le vélo et la convivialité.

TRANSFORMER les abords des écoles en zones piétonnes végétalisées, avec du mobilier à hauteur d’enfant, de l’ombre, de la pleine terre, et des bancs pour les parents.

SÉCURISER et végétaliser les trajets scolaires, avec des “chemins de l’école” balisés, ludiques et adaptés aux enfants, y compris dans les quartiers populaires.

OUVRIR les cours d’école après les heures de classe, pour en faire des îlots de fraîcheur, de détente et de lien social.

CRÉER un “droit au jeu dans l’espace public”, avec une charte nantaise du jeu urbain et l’aménagement de petits espaces ludiques dans les interstices de la ville (placettes, trottoirs élargis, pieds d’immeubles…).

LANCER des conseils d’enfants dans les quartiers populaires, associés à la fabrique des projets urbains.

FAIRE évaluer les espaces publics par les enfants, via des balades urbaines, des diagnostics ludiques, et des concertations adaptées à leur âge.

Dans un monde où les défis sociaux et environnementaux se multiplient, l'action collective est indispensable.
Faire Mieux, c’est plus qu’un programme : c’est un mouvement citoyen. C’est un cri de ralliement pour toutes celles et ceux qui veulent construire un avenir plus juste, plus solidaire et plus durable.

Nous lançons une campagne municipale ouverte, participative et populaire. Un programme, aussi riche soit-il, ne vaut que s’il continue de s’enraciner dans les réalités du terrain. C’est pourquoi nous vous invitons à contribuer à son enrichissement, à porter vos idées, à faire entendre votre voix.

Faites vivre notre programme avec vos expériences, vos expertises, vos colères, vos rêves.

Chaque engagement, chaque contribution compte.

Faire Mieux, c’est une communauté qui agit, qui débat, qui construit.
Et si vous en faisiez partie ?

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